Vis ma vie...de chat noir

Publié le par Marine R.

Et oui, boulet un jour, boulet toujours.

Ce qu'il faut savoir pour commencer, c'est qu'avant le triste/ridicule épisode du changement de code, j'avais déjà passé une semaine pourrie. Et que le lendemain la journée a commencé par un lever à l'aube afin de partir chez moi faire un peu de ménage et préparer ma valise avant d'aller bosser.

chat-noir.jpgBref, autant dire que vendredi soir, en partant du bureau direction l'aéroport, je n'étais pas peu heureuse. Heureuse mais pas encore totalement détendue. Ben ouais, on n'est jamais à l'abri d'une merde dans les transports (surtout quand on a la poisse depuis une semaine). C'est donc en arrivant dans les sublaïmes couloirs d'Orly sud, 1h45 avant le décollage, que j'ai enfin réussi à me détendre.

Ah, je check le vol sur les panneaux d'affichage, il est annoncé avec 15mn de retard. Ne me dites pas qu'il ne va pas partir hein !?!

Mais non mais non, tout va bien, je retrouve mes potes, totalement décontractée du gland zen. Un peu trop peut-être. Parce qu'après une petite cigarette et un Coca light dans l'un des cafés bien glauques de l'aérogare, il nous a fallu rejoindre la porte d'embarquement. Que persuadée d'avoir le bon papier je ne me suis inquiétée de rien. Et qu'en fait j'avais bien mon e-ticket MAIS pas ma carte d'embarquement (boulet). Que je me suis donc fait refouler par la sécurité.

Me voilà donc à courir en direction du comptoir de la compagnie où ces enf***, encore là mais pressés de partir, ont refusé de m'enregistrer, alors même que le vol était désormais annoncé avec 45mn de retard. Mais non, ils n'ont rien voulu savoir. Ni là ni à la porte d'embarquement.

Me voilà donc à dire au revoir à mes potes, à retraverser l'aérogare vers le comptoir de la compagnie pour essayer de changer mon billet et à repartir comme une conne vers Paris, des larmes de dépit et d'énervement pointant au coin des yeux. MAUDITE. J'ai bien fait de me lever à l'aube le matin pour faire ma valise...

Et oui, ce qui n'était qu'une crainte ironique est devenu réalité. Pour la première fois de ma vie j'ai raté un avion. 

Semaine de meeeeeeeeeerde (ceci dit, autant tout cumuler)(là je devrais être tranquille pour toute l'année). 

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